jueves, 2 de agosto de 2007

Santiano

Santiano, una de las canciones más bonitas que se hayan escrito, por Hugues Aufray.

C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
Hisse et ho, Santiano!
Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux:
Je suis fier d'y être matelot.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
Hisse et ho, Santiano!
D'y penser j'avais le cœur gros
En doublant les feux de Saint-Malo.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

On prétend que là-bas l'argent coule à flots.
Hisse et ho, Santiano!
On trouve l'or au fond des ruisseaux.
J'en ramènerai plusieurs lingots.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
Hisse et ho, Santiano!
Au pays, j'irai voir Margot.
A son doigt, je passerai l'anneau.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Tiens bon le cap tiens bon le flot.
Hisse et ho, Santiano!
Sur la mer qui fait le gros dos,
Nous irons jusqu'à San Francisco.


¡Nos vemos en la Siempre Verde!

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